Le Journal de Bridget Jones (film)
Titre québécois | Le Journal de Bridget Jones |
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Titre original | Bridget Jones’s Diary |
Réalisation | Sharon Maguire |
Scénario |
Richard Curtis Andrew Davies Helen Fielding |
Musique | Patrick Doyle |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Alliance Atlantis Vivafilm Working Title Films Little Bird Miramax Films Universal Pictures Studiocanal |
Pays de production |
Royaume-Uni France États-Unis |
Genre | Comédie romantique |
Durée | 97 minutes |
Sortie | 2001 |
Série Bridget Jones
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Le Journal de Bridget Jones (Bridget Jones’s Diary) est une comédie romantique britannico-franco-américaine réalisée par Sharon Maguire, sortie en 2001. Il s'agit d'une adaptation cinématographique du roman du même nom d'Helen Fielding, publié en 1996. Le film est un succès mondial, récoltant plus de 281,9 millions de dollars, pour un budget de 25 millions[1].
La bande originale contient le single It's Raining Men, interprété par Geri Halliwell, qui se classe également numéro 1 dans plusieurs pays tels que le Royaume-Uni, la Belgique, la France, l'Irlande, l'Italie, la Pologne et l'Écosse[2]. C'est aussi la treizième meilleure vente de singles de l'année 2001 au niveau mondial[3].
Il est suivi de deux suites cinématographiques à succès Bridget Jones : L'Âge de raison en 2004[4], ainsi que Bridget Jones Baby (2016)[5].
Actuellement, le film et sa bande originale sont considérés comme cultes[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13] ,[14].
Synopsis
[modifier | modifier le code]Bridget (Renée Zellweger) est une trentenaire célibataire un peu enrobée, gaffeuse, qui fume comme un pompier, boit comme un trou et passe chaque année le nouvel an avec ses parents chez des amis. Elle travaille dans la maison d'édition Pemberley Publishing dirigée par Daniel Cleaver (Hugh Grant), dont elle pense être amoureuse.
Sa mère (Gemma Jones), une femme superficielle et égoïste, cherche à tout prix à marier Bridget et la critique sur son look, peu avenant selon elle. Le père de Bridget (Jim Broadbent) est affectueux mais dominé par son épouse. C'est le Jour de l'an qu'elle re-rencontre Mark Darcy (Colin Firth), un avocat brillant et un peu guindé. Après une conversation qui se passe très mal (Mark la traite de vieille fille alcoolique alors qu'il se croit hors de portée des oreilles de Bridget), cette dernière se rend compte qu'elle doit changer, sinon elle restera seule toute sa vie.
Elle achète donc son journal dans lequel elle écrit ses bonnes résolutions : perdre du poids, arrêter de fumer, arrêter de boire et trouver un homme qui lui corresponde. Elle parvient à ensuite séduire Daniel et entame avec lui une relation mais ignore les avertissements de Mark Darcy qui la met indirectement en garde contre Daniel : les deux hommes ont en effet un contentieux, et Daniel raconte à Bridget que Mark lui a chipé sa fiancée.
En découvrant un jour que Daniel la trompe, Bridget s'effondre. Alors qu'elle reprend pied, elle est invitée chez des amis, y rencontre à nouveau Mark (et sa petite amie, une avocate prétentieuse) et se retrouve la seule célibataire : elle est l'objet de réflexions moqueuses sur les trentenaires célibataires. Malgré tout, Mark avoue à Bridget qu'il l'aime bien, en dépit de ses défauts : Bridget est plus remuée qu'elle ne veut l'admettre.
Lorsqu'elle organise son repas d'anniversaire, Mark débarque à l'improviste et tous deux passent un bon moment en compagnie des amis de Bridget. Mais Daniel arrive à son tour et tente de reconquérir Bridget. Dépité, Mark provoque Daniel et ils se battent dans la rue au cours d'une scène mémorable. Bridget, déçue, repousse ses deux prétendants. Déprimée, elle refuse d'aller à une fête chez les parents de Mark mais une réflexion de sa mère l'informe que c'est Daniel qui a volé la femme de Mark et non le contraire. Voyant là l'occasion inespérée de tomber dans les bras de Mark, elle se précipite… pour entendre le père de Mark annoncer sa mutation professionnelle à New York et son mariage (Mark n'étant manifestement pas au courant). Bridget s'humilie publiquement en tentant de retenir maladroitement Mark et lui fait comprendre qu'elle aussi a des sentiments pour lui.
Rentrée chez elle, elle s'abandonne à l'alcool mais Mark débarque et lui annonce qu'il renonce à New-York : Bridget, folle de joie, se précipite dans sa chambre pour enfiler des sous-vêtements sexy. Pendant ce temps, Mark tombe sur le journal de Bridget et lit des passages peu flatteurs sur lui : il s'en va. Désespérée, elle lui court après, prenant juste le temps de passer un gilet sur ses sous-vêtements bien qu'il neige très fort, et le retrouve sortant d'une librairie où il vient de lui acheter un nouveau journal : ils tombent dans les bras l'un de l'autre.
Fiche technique
[modifier | modifier le code]- Titre original : Bridget Jones’s Diary
- Titre français et québécois : Le Journal de Bridget Jones
- Réalisation : Sharon Maguire
- Scénario : Helen Fielding, Andrew Davies et Richard Curtis, d'après le roman du même nom d'Helen Fielding
- Musique : Patrick Doyle
- Direction artistique : Paul Cross et David Warren
- Décors : Gemma Jackson
- Costumes : Rachael Fleming
- Photographie : Stuart Dryburgh
- Son : Nicolas Le Messurier, Richard Pryke, John Hayward
- Montage : Martin Walsh
- Production : Tim Bevan, Eric Fellner et Jonathan Cavendish
- Production exécutive : Peter McAleese
- Production déléguée : Helen Fielding
- Coproduction : Debra Hayward et Liza Chasin
- Sociétés de production[15] :
- Canada : Alliance Atlantis Vivafilm
- Royaume-Uni : Working Title Films et Little Bird
- États-Unis : avec la participation de Miramax Films et Universal Pictures
- France : avec la participation de Studiocanal
- Sociétés de distribution :
- Budget : 25 millions de $[16]
- Pays d'origine : Royaume-Uni, France, États-Unis
- Langue originale : anglais
- Format[17] : couleur (Technicolor) - 35 mm - 2,39:1 (Cinémascope) - son SDDS | Dolby Digital | DTS
- Genre : comédie, drame, romance
- Durée : 97 minutes
- Dates de sortie[18] :
- Royaume-Uni : (avant-première) ; (sortie nationale)
- États-Unis, Canada :
- Belgique :
- France : (Festival des cinémas d'Irlande et de Grande-Bretagne de Cherbourg-en-Cotentin) ; (sortie nationale)
- Suisse romande : [19]
- Classification[20] :
- Royaume-Uni : Interdit aux moins de 15 ans (15 - Suitable only for 15 years and over)[21].
- États-Unis : Interdit aux moins de 17 ans (R – Restricted)[Note 1].
- France : Tous publics (visa d'exploitation no 103525 délivré le )[22].
Distribution
[modifier | modifier le code]- Renée Zellweger (VF : Odile Cohen ; VQ : Julie Burroughs) : Bridget Jones
- Colin Firth (VF : Nicolas Lormeau ; VQ : Jean-Luc Montminy) : Mark Darcy
- Hugh Grant (VF : Thibault de Montalembert ; VQ : Daniel Picard) : Daniel Cleaver
- Jim Broadbent (VF : Claude Lévêque ; VQ : Hubert Gagnon) : Colin Jones, le père de Bridget.
- Gemma Jones (VF : Patricia Jeanneau ; VQ : Claudine Chatel) : Pamela Jones, la mère de Bridget.
- Celia Imrie (VF : Frédérique Cantrel) : Una Alconbury
- James Faulkner (VF : Patrick Préjean ; VQ : Jean-Marie Moncelet) : « Oncle » Geoffrey
- Shirley Henderson (VQ : Charlotte Bernard) : Jude, la meilleure amie de Bridget.
- James Callis (VQ : François Godin) : Tom, un ami de Bridget.
- Sally Phillips : Sharon « Shazza », une amie de Bridget.
- Embeth Davidtz : Natasha Glenville
- Lisa Barbuscia : Lara
- Charmian May (en) : Mme Darcy
- Paul Brooke (VF : Gérard Surugue ; VQ : André Montmorency) : M. Fitzherbert
- Patrick Barlow (en) (VF : Gabriel Le Doze) : Julian
- Felicity Montagu (en) (VQ : Johanne Léveillée) : Perpetua
- Neil Pearson (en) (VQ : Mario Desmarais) : Richard Finch
- Dolly Wells (en) : Woney
- Salman Rushdie (VF : Patrick Paroux) : lui-même (caméo)
- Version française dirigée par Hervé Icovic au studio Alter Ego, d'après une adaptation des dialogues de Sylvie Caurier[23].
- Source et légende : Version française (VF) sur RS Doublage[24] et version québécoise (VQ) sur Doublage QC[25].
Bande originale
[modifier | modifier le code]La bande originale contient le single It's Raining Men, interprété par Geri Halliwell.
La chanson débute à la première position du palmarès britannique et s'y maintient trois semaines. 155 000 copies sont vendues la première semaine et 80 000 la deuxième. Au total, 423 418 copies sont vendues en Grande-Bretagne, ce qui en fait le single le plus populaire d'Halliwell dans ce pays[26]. Elle se classe également numéro 1 en Belgique, en France, en Irlande, en Italie, en Pologne et en Ecosse[2]. En France, elle se vend à plus de 812 000 copies[27]. C'est aussi la 13e meilleure vente de singles de l'année 2001 au niveau mondial[3].
Le vidéoclip de cette version s'inspire de la scène de l'audition du film Flashdance ainsi que du film Fame[28].
Titres
[modifier | modifier le code]Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.
- Perry Como - Magic Moments
- Andy Williams - Can't Take My Eyes Off You
- Jamie O'Neal - All by Myself
- Aretha Franklin - Respect
- Badfinger - Without You (Interprété par Renée Zellweger)
- Aaron Soul (en) - Ring ring ring
- Pretenders - Don't Get Me Wrong
- Art of Noise - Peter Gunn
- Rosey - Love
- Marvin Gaye & Diana Ross - Stop, look, listen (to your heart)
- The Fifth Dimension - Up, up and away
- Dick Walter - Every bossa
- The Dramatics - Me and Mrs Jones
- Julie London - Fly me to the moon
- Chaka Khan - I'm Every Woman
- Sheryl Crow - Kiss that girl
- Van Morrison - Someone Like You (Aussi interprété par Dina Carroll)
- Artful Dodger et Craig David - Woman trouble
- Alisha's Attic - Pretender got my heart
- Shelby Lynne - Dreamsome
- Geri Halliwell - It's Raining Men
- Alan Moorhouse - Christmas green
- Diana Ross - Ain't No Mountain High Enough
- Gabrielle - Out of Reach
- Robbie Williams - Have You Met Miss Jones
- Robbie Williams - Not of this earth
Accueil
[modifier | modifier le code]Accueil critique
[modifier | modifier le code]Sur le site Rotten Tomatoes, il obtient la note de 6.9/10, basé sur 158 reviews[5]. Quant au site Metacritic, il arrive à 66%[29].
Box-Office
[modifier | modifier le code]Le film est un succès mondial, récoltant plus de 281,9 millions de dollars, pour un budget de 25 millions[1].
Autour du film
[modifier | modifier le code]- Une première suite est donnée au film en 2004 : Bridget Jones : L'Âge de raison (Bridget Jones : The Edge of Reason) de Beeban Kidron, toujours avec Renée Zellweger. Un troisième volet, nommé Bridget Jones Baby, est sorti en [30].
- Le film est assez librement adapté du roman homonyme car il emprunte aussi certaines situations au deuxième volume, L'Âge de Raison. Malgré tout, on parvient toujours à reconnaître l'œuvre littéraire qui a inspiré le roman à l'origine, à savoir Orgueil et Préjugés de Jane Austen, dont Bridget Jones est une adaptation moderne. C'est pourquoi le prince charmant s'appelle Mr. Darcy dans les deux œuvres. À noter que la scène du lac, durant laquelle Daniel Cleaver tombe à l'eau et en ressort chemise blanche mouillée, est un clin d'œil à la scène de la plongée dans le lac présente dans l'adaptation de Orgueil et Préjugés dans laquelle Colin Firth jouait.
- Les noms de Colin Firth, le mémorable Darcy de Orgueil et Préjugés, la série britannique de 1995 et d'Hugh Grant, qui joue Edward Ferrars dans le film d'Ang Lee, Raison et Sentiments, sorti la même année, sont tous deux évoqués dans le livre.
- La culotte couvrante portée par Renée Zellweger, signée par Hugh Grant, a été vendue aux enchères 2 000 livres sterling. Elle a d'ailleurs été l'origine d'un véritable raz-de-marée dans le monde de la lingerie féminine, les ventes pour ce type de produit augmentant de 17 % tandis que les ventes de string baissaient de 7%[31].
Distinctions
[modifier | modifier le code]Entre 2001 et 2002, Le Journal de Bridget Jones a été sélectionné 40 fois dans diverses catégories et a remporté 8 récompenses[32],[33].
Distinctions 2001
[modifier | modifier le code]Festivals de cinéma | Catégorie / Récompense | Nommé(es) / Lauréat(es) | |
---|---|---|---|
Écran d'or | Prix de l’Écran d'or | Écran d'or des films ayant totalisé 3 millions d'entrées en 18 mois. | Lauréat |
Prix Bogey (Bogey Awards) |
Prix Bogey[Note 2]. | Le Journal de Bridget Jones | Lauréat |
Prix de la comédie britannique | Meilleur film de comédie | Le Journal de Bridget Jones | Nomination |
Prix du cinéma européen | Prix du public du cinéma européen du Meilleur acteur européen | Colin Firth | Lauréat |
Meilleur film européen | Tim Bevan, Eric Fellner et Jonathan Cavendish | Nomination | |
Prix du jeune public | Meilleure alchimie | Hugh Grant et Renée Zellweger | Nomination |
Meilleure scène de combat | Hugh Grant et Colin Firth | ||
Meilleur film que vos parents ne voulaient pas que vous voyiez | Le Journal de Bridget Jones | ||
Prix mondiaux de la bande originale | Prix mondial de la bande originale de la Meilleure musique originale de l'année non publiée sur un album | Patrick Doyle | Lauréat |
Prix Schmoes d'or (Golden Schmoes Awards) |
Meilleure actrice de l'année | Renée Zellweger | Nomination |
Distinctions 2002
[modifier | modifier le code]Statut de film culte
[modifier | modifier le code]Actuellement, le film et sa bande originale sont considérés comme cultes[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13],[14].
Suites
[modifier | modifier le code]Il est suivi de deux suites cinématographiques à succès Bridget Jones : L'Âge de raison en 2004[4] , ainsi que Bridget Jones Baby (2016)[5].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- Classification États-Unis : Les enfants de moins de 17 ans doivent être accompagnés d'un adulte - « Classé R pour le langage et une forte sexualité. »
- Prix Bogey : « Prix Bogey : vu par un million de personnes, soit 1000 personnes par exemplaire, avec un minimum de 25 exemplaires, dans les dix premiers jours. »
Références
[modifier | modifier le code]- « Le Journal de Bridget Jones box office », sur www.boxofficemojo.com.
- « Certifications Singles Diamond - année 2002 », Disque en France (version du sur Internet Archive)
- « 2001 - UK Charts Plus » [PDF], UKChartsPlus, (consulté le )
- « Bridget Jones: The Edge of Reason (2004) », Box Office Mojo
- « Bridget Jones's Baby », sur rottentomatoes.com
- « Bridget Jones film culte », sur allociné.fr.
- « Bridget Jones film culte », sur fuckincinephiles.com.
- « Bridget Jones film culte », sur www.cellardoor.fr (consulté le ).
- « Bridget Jones », sur www.filmdeculte.com.
- « Bridget Jones film culte », sur www.nostalgie.be.
- « L'instant culte, 10 moments où tu t'es tellement sentie comme Bridget Jones que t'aurais pu faire le film », sur www.shoko.fr.
- « Bridget Jones notre catherinette préférée », sur www.pleinevie.fr.
- « Bridget Jones critique film culte », sur avoiralire.com.
- « Bridget Jones film culte », sur www.kaakook.fr (consulté le ).
- « « Le journal de Bridget Jones - Société de Production / Sociétés de distribution » » ((en) sociétés de production et de distribution), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- (en) « Budget du film Bridget Jones's Diary », sur Box Office Mojo.com (consulté le ).
- « « Le journal de Bridget Jones - Spécifications techniques » » (spécifications techniques), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « « Le journal de Bridget Jones - Dates de sortie » » (dates de sortie), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- « Bridget Jones's Diary - Dates de sortie », sur cineman.ch (consulté le ).
- « « Le journal de Bridget Jones - Guide Parental » » ((en) guide parental), sur l'Internet Movie Database (consulté le ).
- (en) « Classification Parentale au Royaume-Uni », sur bbfc.co.uk (consulté le ).
- « Visa et Classification - Fiche œuvre Le journal de Bridget Jones », sur CNC (consulté le ).
- « Le Journal de Bridget Jones », sur Voxofilm
- « Fiche du doublage français du film », sur RS Doublage
- « Fiche du doublage québécois du film », sur DoublageQC
- (en) "It's Raining Men" UK Sales
- « InfoDisc : Les Certifications (Singles) du SNEP (Bilan par Artiste) – Search for "HaliwellG." », Syndicat National de l'Édition Phonographique (version du sur Internet Archive)
- « Entertainment Daily : Geri Halliwell », AP Archive (consulté le )
- « Bridget Jones's Diary Reviews », Metacritic, CBS Interactive (consulté le )
- (en) « Bridget Jones Baby », sur imdb.com.
- Hélène Coutard, « La culotte de Bridget Jones », So Film n°39, , p. 17
- « « Le Journal de Bridget Jones - Distinctions » » ((en) récompenses), sur l'Internet Movie Database (consulté le 22 avril 2021).
- « Palmares du film Le Journal de Bridget Jones », sur Allociné (consulté le ).
Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à l'audiovisuel :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Notice dans un dictionnaire ou une encyclopédie généraliste :
- Film britannique sorti en 2001
- Film français sorti en 2001
- Film américain sorti en 2001
- Comédie romantique britannique
- Comédie romantique française
- Comédie romantique américaine
- Film scénarisé par Richard Curtis
- Film avec une musique composée par Patrick Doyle
- Adaptation d'un roman britannique au cinéma
- Film se déroulant à Londres
- Film tourné à Londres
- Film tourné en Angleterre du Sud-Ouest
- Film tourné en Angleterre du Sud-Est
- Film tourné en Angleterre de l'Est
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